vendredi 5 septembre 2014

La question 4.




Parti Communiste Français (PCF).

Le PCF est la partie principale, le gros « gâteau » rouge et le « patron » de la plupart des « associations », « mouvements » ou « collectifs » haineux et antisémites. Le PC, est un parti moribond qui ne représente plus que quelques passéistes arriérés en mal de dictature prolétarienne mais qui n’a pas encore perdu son immonde pouvoir de nuisances.

L’antisémitisme primaire et communiste n’est pas nouveau ! Déjà en janvier 2012 à Champigny, municipalité communiste des cris « d’à mort les juifs » avaient retenti !

A force, à Champigny et ailleurs, d’attiser les haines contre Israël avec ces trains de mensonges sur des massacres de palestiniens qui n’existaient que dans leurs cerveaux de détraqués socialistes (après tout, le parti d’Hitler s’appelait bien « Parti National Socialiste des Travailleurs Allemands »),à force d’instrumentaliser de « jeunes » arabes au QI de pétoncle qui forcément épousent la souffrance inventée des arabes de là bas, et qui forcément s’en prennent aux juifs qui leur tombent sous la main, à force de se livrer à une propagande anti-israélienne soutenue, qui, en attisant la haine d'Israël, pousse à l'acte antijuif, on en arrive à la haine brute antisémite !

Déjà entre 1939 et 1942 les dirigeants communistes Français et les « militants » de gauche d’alors, membres du fameux komintern bolchevique était farci d’antisémites, comme le traître et communiste Jacques Duclos qui dénonçait pour complaire à l’occupant nazi allié de circonstance de son ignoble parti, le ”juif Mandel”, ministre de l’Intérieur sous Paul Reynaud.

M. Albert Sarraut, ministre de l’Intérieur, (et pas du Maréchal) s’écriait même en séance du Sénat, le 19 mars 1940 :
“La propagande communiste et hitlérienne - elles ne font qu’une - la propagande ennemie. J’ai eu l’occasion de m’en expliquer devant votre commission de législation criminelle et civile. Le chef de cette propagande est le chancelier Hitler, dont le bolchevik est le “lieutenant” s’il était besoin de faire la preuve de cette affirmation, il suffirait d’indiquer avec le fait que ce sont les avions allemands qui éparpillent les tracts communistes, cet autre fait que les postes de radio et de propagande communiste, “La Voix de la Paix”, “Radio Humanité” qui sont répétées, lancent leurs émissions du territoire allemand.” (Journal Officiel du 20 mars 1940, page 266).


Doit on rappeler que le communiste
George Montandon, l’ethnologue,  fut l'une des principales cautions scientifiques du racisme antisémite avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Paul Rassinier qui était un des principaux initiateurs du négationnisme français dont le socialiste Maurice Bardèche est considéré comme l'« inventeur ». (18 mars 1906 - 28 juillet 1967) a été un pacifiste, un militant communiste, socialiste, puis anarchiste. Propagandiste clandestin lors de la Seconde Guerre mondiale, il fut prisonnier aux camps de concentration de Buchenwald et de Dora-Mittelbau. Voir ICI !
Que Pierre Laval, Membre de la très marxiste SFIO depuis 1905,l’avocat milliardaire, défendant parfois des syndicalistes communistes de la CGT et qui était le maire depuis 1923 et député socialiste d'Aubervilliers,( mandat de maire qu’il conserva jusqu’à la Libération) déjeunais avec Hitler lui-même ; on le savait ! Mais que la même ordure socialiste Laval maire socialiste d’Aubervilliers ( Jusqu’en 1944) et Franc maçon du Grand Orient ait, début juillet 1942, proposé aux nazis de livrer les Juifs étrangers vivant en zone non occupée en y joignant leurs enfants ( non demandé des Allemands) ça on le sait moins.

De tous temps, le Parti Communiste s’efforcera de se donner une image de pureté politique et d’infaillibilité, d’humanisme… ô comme ils disent !
Seulement voilà; c’est un parti déclaré CRIMINEL CONTRE L’HUMANITE (1)  
Et cela pour l’Holodomor en Ukraine qui fit 9 millions de morts. Neuf millions de morts est une estimation basse !

Mais laissons cela, 9 millions de morts chrétiens orthodoxes et autres religions (dont nombre de communautés juives Ukrainiennes) de la part d’un parti communiste, non connu pour ses positions raciste, homophobes et antimaçonniques ou antisémites ce ne doit être qu'un très léger « détail » de l’histoire peut être ?

Toutefois c’est en fait un gros détail, l’Europe ne connaît pas de crimes pareils. L’extermination totale de neuf millions ( au bas mot) de paysans ukrainiens dit « Koulak » (ICI). (Le grand assassin et criminel marxiste Ovseï-Gerchen Aronovitch Radomyslski-Apfelbaum dit Grigori Zinoviev déclarait en 1924 : « On aime parfois chez nous qualifier de koulak tout paysan qui a de quoi manger ») par une faim artificielle est un acte terroriste communiste conscient du système politique marxiste désiré par les militants du PCF. L’ Holodomor a détruit les bases sociales de la nation ukrainienne, ses traditions séculaires, sa culture spirituelle et son identité ethnique. Comment après ça peut-on se dire communiste ?

Car il y a plus grave ! Bien plus grave !

On sait maintenant que de 1939 à 1941 le Parti Communiste Français fut collaborateur de l’Allemagne Nazie. (2)

Ce qu’on sait moins, c’est que les communistes entre 1933 et 1945 ( C'est-à-dire pendant toute la deuxième guerre mondiale) publieront 28 listes noires regroupant 2.300 noms de « provocateurs, voleurs, escrocs, Trotskystes, mouchards et traîtres chassés des organisations révolutionnaires de France.(3) Initiative prise par  Maurice Tréand Voir Ici., responsable de la puissante Commission des Cadres du Parti communiste, sous la houlette des collabos, déserteurs et traîtres à la France Maurice Thorez et Eugen Fried.  Tout ceux que les listes prohibaient rappelaient en creux les « valeurs » cardinales et nauséabondes souvent antisémites développées dans le Parti communiste. Parmi celles-ci, l’infaillibilité du Parti, la justesse perpétuelle de sa ligne politique, la volonté d’unicité et celle d’être non connus pour leurs prises de position racistes et antisémites.
Les « militants » devaient fournir des signalements anthropologiques et ethniques  suivant en cela les conseils du communiste Suisse Georges Montandon.

Le 15 décembre 1926, le camarade Montandon fait paraître sous pseudonyme dans l’organe officiel du Parti
Communiste Français L'Humanité un article intitulé « L'origine des types juifs ». Il publie dans le numéro d'avril 1939 de Contre-révolution, un article intitulé « La Solution ethno-raciale du problème juif » où il affirme : « cette farouche intégrité du sang sémite fait des juifs les premiers ethno racistes en date ».

Là ou le bât blesse, c’est que le parti communiste était alors en pleine « chasse aux juifs » et usait de manières carrément antisémites pour dénoncer ses « ennemis :
Voir ici.

 « C… Renée, dite Tania, dite Thérèse, du XIV ème arr. Juive bessarabienne ».
« De B…, juif étranger. Renégat, dénigre le parti communiste  et URSS ».
« R. Juif (Ce n’est pas son vrai nom) Travaille avec un groupe juif ennemi ».
Etc. etc.

De fait le Parti communiste Section Française de l’Internationale Communiste est étroitement tenu par Moscou : par exemple de 1930 à 1943, date de sa mort, le parti est contrôlé par l'agent du Komintern Eugen Fried, Juif hongrois né en 1900 qui parle yiddish, hongrois, tchèque, slovaque, français, russe et anglais, qui choisit, pour Staline, comme dirigeants de la section Française internationaliste communiste : Maurice Thorez (dont la première femme sera sa dernière compagne et dont il élèvera le fils), Jacques Duclos, Benoît Frachon et André Marty.
Pendant la guerre civile d’Espagne, à partir de 1936, le Komintern nomme André Marty inspecteur général des Brigades internationales et il restera planqué en Espagne jusqu'à la fin de la guerre, en 1939. André Marty, sera surnommé le "boucher d'Albacete", il fut notamment chargé d'éliminer physiquement les trotskistes, nombres de trotskistes étaient à cette époque juifs à commencer par Trotsky lui-même (Lev Davidovitch Bronstein) et son compère bolchévique et assassin Grigori Zinoviev . Le témoignage de Sygmunt Stein, un communiste polonais, membre des Brigades Internationales et de confession judaïque dans son livre écrit en yiddish dans les années 1950 et parus dans une traduction française de Marina Alexeevna-Antipov en 2012 est capital. Tout ce qu’il croyait combattre dans le fascisme (Forme nationaliste du socialisme), à commencer par l’antisémitisme, il le retrouve dans son propre camp le camp communiste, le camps de la haine, cette haine antisémite qui sévit encore aujourd’hui au sein de ce « parti » dont de nombreux militants sont condamnés pour incitation à la haine raciale antisémite, dont des militants du MRAP mouvement qui distille de la haine des juifs ! La déception est à la mesure de l’espoir qui l’avait mené en Espagne : immense. Affecté par la suite à la compagnie juive Botwin, il sera envoyé au front pour servir de chair à canon.

Des exécutions arbitraires du « boucher d’Albacete », André Marty, aux banquets orgiaques des commissaires politiques, en passant par les impostures de la propagande soviétique, Sygmunt Stein dénonce violemment dans son livre la légende « dorée » des Brigades internationales assassines. Voir ici
Avant « d'épurer » la France  en 1944 et d'assassiner sans jugement environ 50 000 Français entre 1939 et 1945 les collectivistes rouges étaient des dénonciateurs de juifs, de Francs Maçons et d'homosexuels. Pour preuve ceci dessous quelques extrait d’un document du PCF de Janvier 1943 :
Le Parti  communiste dresse une longue liste de Français qui ont ouvert les yeux sur la réalité nauséabonde et criminelle du communisme. Ce qui est intéressant de retenir, ce sont les descriptions faites par les communistes de leurs anciens « camarades » voués, dorénavant, à être assassinés ou déporté en Allemagne nazie. Certaines de ces descriptions sont notoirement ANTISÉMITES. Il est par exemple possible d'y lire « Carasso Samy, Nogent, né en 1899 à Rhodes, juif naturalisé en 1932. Secrétaire de loge maçonnique à Smyrne, rédacteur à la Défense. Renégat, se livre au marché noir ».
Sur une liste communiste du 1/11/1943 figure : Wladimir Le Fèvre d'Ormesson écrivain, journaliste et diplomate français. Sa carrière diplomatique commence en mai 1940 quand Paul Reynaud le nomme ambassadeur auprès du Saint Siège, il est rappelé en octobre par le gouvernement de Vichy. Il collabore au Figaro replié à Lyon avant d'entrer dans la clandestinité et la résistance.

Et Gilles Dregy (Gilles Dreyfus) Juif. Et surtout, Georges Villiers (15 juin 1899 - 13 avril 1982) chef d'entreprise, homme politique, grand résistant et syndicaliste français.
De 1939-1945, il est dirigeant d'une entreprise de métallurgie, il fut le Président de la Métallurgie du Rhône. En mai 1941, Georges Villiers, membre de la Délégation spéciale de la municipalité de Lyon, alors en zone libre, se rend à Vichy pour défendre l'indépendance de la ville. Il obtient de Darlan le maintien d'un conseil municipal à Lyon et ce dernier lui propose même le fauteuil de maire. Après avoir consulté Édouard Herriot, Georges Villiers accepte cette responsabilité et devient maire de Lyon.
En 1943, après la disparition de la zone libre, Vichy procède à une épuration du Conseil municipal de Lyon. 18 révocations sont prononcées, dont celles de Georges Villiers, soupçonné à juste titre d'aider la Résistance. Plus tard, il est à cause de cette "liste noire communiste, arrêté et déporté au camp de concentration de Dachau. Merci les communistes, devenus "Front de gauche ".

Les communistes Français en rajoutent sur leurs nauséabondes « listes » de la haine raciste : Bresson Marcel, 50 ans environ, 1m70, figure osseuse, lorgnons. Représentant à la toile d'avion. Exclu en 1934 pour relations et moeurs spéciales. Habite le XVe. Rouge Jeanne, polonaise, 40 ans, 1m60 environ, figure ronde, cheveux noirs, genre femme orientale grasse. Mari et elle-même liés à Ferrat. (...) Chasseing  Renée "juive bessarabienne" Davet Yvonne, 1 place du général Beuret, 30 ans environ, 1m54, cheveux noirs, teint olivâtre, maladive. Trostkyste, avait été en liaison avec le Poum ».
La police de Vichy et la Gestapo  mirent la main sur ces listes et c’est ainsi que plusieurs milliers de juifs furent déportés vers les camps d’extermination nazis par la faute et avec l’aide des communistes Français !
A la même époque dans les prisons de Vichy, les sinistres communistes exécutaient les trotskistes (cas de Gérard Bloch le mathématicien trotskiste qui déclarait en 1943: "Je suis communiste bien qu’appartenant à la IV Internationale" et qui, lui en réchappa).
Dans les maquis, même chose, quelques victimes trotskistes des communistes Français: Tresso, Pierre Salini, Jean Reboul, Abraham Sadek, qui, accusés d'avoir empoisonné l'eau du camp (accusation à connotation historiquement très antisémite) furent photographiés et durent écrire leur biographie avant d'être massacrés par leurs frères d'armes communistes staliniens.
Même dans les camps d’extermination nazi, l'épuration entre codétenus communistes français se poursuivait (ex: Marcel Hic, trotskiste ignominieusement assassiné par ces « camarades » à Dora).
Le Parti Communiste Français, homophobe, raciste, antisémite, traître à la Patrie, valet du totalitarisme soviétique et en 1940, de l’occupant nazi, participant à la déportation massive de juifs Français entre 1939 et 1945 (Oui, encore une fois vous avez bien lu : 1945 !) reste aujourd’hui en 2014 en soutenant la campagne antisémite BDS et le Hamas musulman palestinien, puissamment antisémite. Et puis aujourd’hui d’aucuns vous affirment que le communisme n’existerait plus après la chute de la dictature soviétique.

Seulement voilà, tout cela serait bel et bon, mais le sale communisme n’est en fait pas mort, le cancer bolchévique est toujours tapi dans les replis les plus sombres de l’homme ! Dans son pamphlet    « La bête et le venin » Vladimir Volkoff nous met en garde. Par ce que la bête putride est gravement blessée et en passe de mourir, il nous demande de ne pas en conclure que le venin qu’elle a secrété n’empoisonnera plus la planète.
L’odieux et criminel communisme cherche toujours à renaître de ces cendres par des méthodes et des hommes, des Français qui continuent leur odieux « combats » ou ce qu’ils nomment « luttes » pour la mise en œuvre de leurs « idées » ou thèses nauséabondes de domination mondiale sous l’égide de l’internationale communiste totalitaire !
Pour réaliser leurs immondes projets, les communistes utilisent la « propagande » par l’intermédiaire d’une nébuleuse rouge de type bolchévique.

En premier lieu il faut cacher des crimes et des faits dont l’exactitude est quelquefois reconnue plus tard (lorsque l’on ne peut plus faire autrement) comme par exemple les massacres de Katyn ou l’ Holodomor, famine sciemment organisée par Staline pour exterminer de 7 à 9 ou 10 Millions de paysans Ukrainiens en 1932-1933.

Il faut ensuite appliquer la doctrine de la vérité « ésotérique » et « exotérique ». On justifiait les déclarations officielles qu’émettait ou qu’émettent toujours les régimes communistes qui paraissent trop « fantasques » aux yeux des occidentaux en disant qu’elles sont uniquement destinées aux « masses arriérées » de la Chine, de Cuba, de la Corée du Nord, du Viet Nam ou dans le cas de l’ex URSS par exemple Zinoviev, agent impérialiste de l’intelligence service.

Aussi faire la distinction entre stratégie et tactique Socialiste : Toute les mesures réactionnaires prises par un régime communiste sont déclarées « expédients temporaires » par exemple ; La peine de mort pour les grévistes.

La fin justifie les moyens. Les moyens condamnables quand un Etat capitaliste les emploient deviennent excellents, s’ils servent la « cause » du socialisme international, par exemple le Mondialisme qui devient chez les membres du PCF ou chez les imbéciles idiots utiles et autres marxistes culturels communistes, l’ Alter Mondialisme (c’est la même chose, mais en pire car communiste).

La doctrine des bases inébranlables. C’est la doctrine la plus dangereuse et dernière ligne de défense de l’apologiste cultivé (aujourd’hui on dit marxiste culturel ou marxcul ou encore mrapiste pour militant du Mrap antisémite). C’est aussi le lien qui rattache encore les  dissidents, les trotskistes, les socialistes, sympathisants ou militants de base pour le mythe marxiste. On reconnaît les échecs, les faiblesses et même les crimes du communisme (enfin on minimise quand même ou on se gausse ( 100 millions de morts, ah ah ah et puis quoi encore, pourquoi pas 200 millions ?), mais on prétend qu’il ne s’agit là que de symptômes superficiels, qui ne change rien à la nature foncièrement progressiste (*4) ( les fameuses forces de progrès des systèmes communistes qui garantiraient la nationalisation des moyens de production et l’abolition du profit et de la propriété privée.)                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   


Suivant cette doctrine des bases inébranlables, les néo communistes devenus des marxistes culturels ont mis en œuvre les solutions préconisées par Gramsci: infiltrer les lieux dans lesquels sont dispensées les valeurs, c'est-à-dire, l’université l’école, l’église, la justice, les médias, les partis politiques, les milieux artistiques, … afin d’y détruire les valeurs anciennes et de les utiliser pour dispenser de nouvelles «valeurs».
En plus de l’entrisme, les marxistes ont utilisé leur arme préférée: la démagogie. Dans toutes les sociétés, il y a des motifs de mécontentement. Les subversifs marxistes les exploitent par la propagande en les amplifiant de façon à attirer de nouveaux fidèles.

Le marxisme économique s’était spécialisé dans l’exploitation de la prétendue « misère » ouvrière pour accroître son cheptel. Le marxisme culturel a aussi utilisé la démagogie pour se trouver de nouveaux adeptes. Ils ont essayé et essayent toujours d’exploiter le ressentiment des noirs américains, (Comme par exemple le soutient au noir américain  Wesley Cook dit de son nom musulman Mumia Abu-Jamal condamné en 1982 à la peine de mort pour le meurtre de Daniel Faulkner, un policier de Philadelphie. Voir ici les organisations membres de son comité de soutient.  En France, le Collectif unitaire national de soutien à Mumia Abu Jamal a son siège au MRAP (*5)) l’ostracisme qui frapperait les homosexuels, le statut de la femme, les problèmes d’environnement et ils ont partiellement réussi avec les immigrés, mais le vent tourne et il semble bien avoir forgé un gros bâton pour ce faire battre, ayant comme toujours choisi le mauvais combat.

L’ignorance crasse de la réalité marxiste du temps de l’URSS chez les fidèles de l’idéologie bolchévique est stupéfiante. Neuf sur dix sont choqués ou incrédules lorsqu’on leur dit que, dans l’ex Soviétie le droit de grève était aboli et que la grève ou ses incitations étaient passible de la peine de mort  et que l’électeur communiste n’avait le chois qu’entre « oui » ou « non » d’après une liste unique de candidats du parti communiste  officiellement désignés (ce qu’ils nommaient « démocratie »). Croire bêtement n’a pas forcément pour conséquence le désir de s’instruire. Tous les bolchos disent avoir lu « Das Kapital », comme les chrétiens disent avoir lu la « Bible » mais combien en vérité l’ont réellement fait ? Ce n’est que rodomontades de tartuffes ! Etant donné la très forte propension à être sodomisés à sec avec du sable que manifeste les bolchos et autres sympathisants, la propagande communiste, comme par exemple celle en France du MRAP délicieux « mouvement » qui distille aujourd’hui de la haine des juifs  a pu et réalise toujours des horribles exploits sans parallèle dans l’histoire.

Les marxistes culturels sont donc des manipulateurs qui exploitent le ressentiment d’autrui pour atteindre leurs objectifs. Pourtant derrière chacune des actions des marxistes culturels se trouve un ou plusieurs objectifs très précis visant à leur permettre d’instaurer leur règne immonde.

La lutte excessive pour les «droits» des homosexuels ou des femmes contre leur mari leur permet de détruire l’institution familiale, cercle important de la transmission des valeurs et aussi de favoriser l’hyper féminisation de la société afin de réduire son potentiel de défense face à l’agression.

La lutte contre les exactions vraies ou supposées de la police et de la justice, ainsi que contre les forces d’«ordre», vise à détruire les résistances de la société face à une prise de pouvoir violente et aussi à essayer de démontrer que même la sociale démocratie est inefficace pour régler les problèmes.

La lutte pour la «paix» mâtinée d’antimilitarisme vise aussi à détruire une force d’ordre et surtout à inhiber les défenses de l’occident contre les agressions extérieures.

La lutte contre l’«impérialisme américain» vise à détruire le pays qui est devenu le centre idéologique et le bras armé de l’occident. À noter qu’en France, les marxistes culturels exploitent le ressentiment et la jalousie des élites françaises par rapport aux succès du monde anglo-saxon qu’elles sont incapables d’égaler. Ce qui provient aussi de leur incapacité à combattre le marxisme culturel. Le modèle français et son corollaire, le nationalisme économique, est probablement un concept «marketé» par les marxistes français pour séduire les imbéciles les fameux « idiots utiles » comme la fameuse bande des quatre de l’UMPS, les attirer sur leurs positions anti-occidentales et mettre à profit l’étatisme qu’ils partagent avec les communistes. Cette fusion entre élites françaises et marxistes politiques est réellement fascinante car elle a atteint un point où les deux partagent les mêmes analyses que ce soit sur la politique étrangère, sur le rejet du libre débat et de la démocratie libérale, au profit d’un post-féodalisme vaguement démocratisé.

La « lutte » pour les «droits de l’homme» vise à paralyser et à discréditer la démocratie en exploitant au maximum les ressources offertes par le « droit ».


Dans le marxisme traditionnel, le pouvoir du socialisme est garanti par la dictature du prolétariat sur les autres classes. Dans le marxisme culturel, une autre classe est chargée de maintenir la dictature sur la société, elle est composée d’intellocrates, pseudos « intellectuels » à l’inculture crasse, de juges à la botte du marxisme, d’enseignants ou « d’experts » auto proclamés, de « journalistes », de leaders d’opinion, de « présidents » d’associations et de « ligues » et même de politiciens qui sont chargés de faire appliquer cette ligne du parti et de diffuser l’idéologie bien-pensante. La dictature du prolétariat est devenue la dictature du bien-pensariat. Les apologistes officiels qui diffusent la « ligne » s’entoure de « sympathisants » bien pensants qui semblent jouirent de la même supériorité que le déiste tolérant sur le catholique romain et doctrinaire ; mais les racines des deux « croyances » sont aussi irrationnelles l’une que l’autre.
Ce « bien-pensariat » utilise ses positions d’influence pour faire avancer son agenda consistant à promouvoir leurs «vérités» et le «bien» par le mensonge et la culpabilisation ce que l’on nomme vulgairement ; propagande. Ceux qui s’opposent à ces «vérités» ou à ce «bien» sont immédiatement victimes de la version moderne de l’inquisition, c'est-à-dire la vague de dénigrement et de calomnie politico médiatique qui ne permet que trois options: la «repentance», c'est-à-dire la conversion,( On le voit très bien dans tous les procès intentés par les mrapistofurieux, qui si les prévenus supposés fachos, ne se repentent pas faire l’objet d’une vague de qualificatifs haineux de la part de ces néo marxistes venimeux et racistes antisémites !) La «mort», c'est-à-dire, l’ostracisme et la mort par l’oubli ou l’exil. Cette technique est exactement la même que celle qu’employait l’inquisition contre les juifs à qui on laissait trois choix: se convertir, rester et mourir ou partir pour survivre.
Mais me direz vous, du passé de la gauche il faut faire table rase selon la célèbre formule de Revel. OK alors, parlons donc du PCF d’aujourd’hui et de sa nébuleuse particulièrement nauséabonde du Front de Gauche, par exemple à Mulhouse ou aux dernières municipales le Fion de Gauche était bien représenté par une liste qui fleurait bon la vraie gauche, bien salace, bien crade, bien haineuse, bien raciste, bien antisémite ! Attention voter à gauche : c'est comme marcher dans une merde. On rêvasse humain d’abord, progrès, et puis résultat ; ça pue l’idéologie marxiste collectiviste avec la cerise sur le gâteau rouge brun, la haine antisémite ! Vous me direz que pour les composantes de la secte marxiste culturelle du Front de Gauche et ses adeptes tous les égouts sont dans leur nature, même s'ils sont particulièrement nidoreux.
Cette liste était conduite par l’excellentissime et inaltérable réservoir d’aphorismes regrettables la « camarade » Aline Parmentier, membre du comité central du PCF et activiste de l’AFPS (Association France Palestine Solidarité),organisation antisémite dite de « masse » émanation directe du Parti Communiste dit Français. Le 23 juin 2007 dans une  intervention non prononcée (Mais publiée sur le net) madame Parmentier déclarait : « Dans la période de résistance à la droite et de reconstruction du Parti, il est nécessaire que les militants (es) soient bien formés (ées) et ancrés dans la vie sur de solides assises idéologiques marxistes. » Nonobstant il faut lui reconnaître une certaine lucidité puisqu’elle ajoutait : « la force de pensée communiste est aujourd’hui réduite à pas grand chose » ICI. Les connaisseurs apprécieront !

Aujourd'hui, on proclame partout la « mort » du communisme, des centaines de livres et d'articles ont décrit les horreurs, les tortures, les crimes contre l’humanité et autres abominations commises par les régimes issus de l’idéologie marxiste (150 millions de mort ! Une paille !). Rien de tout cela ne vaudra jamais la reconnaissance solennelle ni la condamnation formelle de ces dizaines de millions de crimes. Là est le vrai et le seul devoir de mémoire. Les matrices de la bête immonde communiste sont toujours pleines des germes des futurs criminels contre l’humanité.

Le 11 Février dernier (Voir ici) le Collectif Tous Ensemble Contre le Nouvel antisémitisme signalait aux électeurs mulhousiens que la « camarade » Aline Parmentier, l’anacoluthe improbable et communiste, avait été condamnée le 8 Janvier dernier par la cour d’Appel de Colmar avec une dizaine d’autres braves progressistes antisémites pour avoir provoqué à la discrimination à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion… La Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA), était partie civile à ce procès.

En résumé madame Parmentier et ses complices (Dit les 12 de Mulhouse) ICI étaient définitivement condamnés pour provocation à la haine raciale antisémite !

On trouvait aussi sur cette liste en 24ème position  un autre des condamnés pour provocation à la haine raciale antisémite ; Jean-Michel Baldassi 67 ans, ancien agitateur syndical CGT (Bras armé du PCF), retraité de chez Peugeot (PSA) Mulhouse.


Encore une fois le Fion de gauche sert de façade à un communisme pestilentiel en décomposition et à un antisémitisme qui avance caché sous le masque de l’« antisionisme » ! Voir ici.

Mais dans notre belle patrie, il n’y avait pas qu’à Mulhouse que l’antisémitisme avançait caché sous le masque du Front de gauche et de la puante idéologie marxiste.


A Alençon dans l’Orne un autre condamné pour incitation à la haine raciale antisémite  ICI François Tollot, 67 balais, conseiller municipal du NPA (Nouveau Parti Antisémite Anticapitaliste) 5e adjoint au maire socialiste d’Alençon, délégué au bâtiment, à la voirie, aux travaux, à la circulation, aux marchés et aux cimetières (Sans rire SVP) menait la liste du Front de Gauche aux municipales 2014 ICI.

Le Collectif Palestine Orne, organisation antisémite comme le « collectif Palestine 68 (ex Boycott68) » comprend la Cimade, le FSU, le NPA, le Parti Communiste dit Français, le « syndicat » marxiste SUD, les gauchistes ultras dit « Verts » (Europe Ecologie les Verts) et l’ Association satellite du PCF, France Palestine Solidarité 61, avec l'AFPS 61 relais de la campagne antisémite BDS  (Boycott, Désinvestissement, Sanctions), avec bien sur, le soutien plein et entier de l’organisation MRAP qui distille de la haine des juifs (Voir ici) Avec François Tollot étaient aussi condamnés Christine Coulon, Nicole Le Strat, Chantal Mallet, Jo Montie, Pierre Frénée, Alain Bertin dans cette liste d’antisémites ce cache deux militants du MRAP !
La question à suivre………


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