jeudi 4 septembre 2014

La question.11



Union des Travailleurs Immigrés Tunisiens (UTIT).
Partie de la nébuleuse communiste de la haine rouge antisémite.
L’Union des Travailleurs Immigrés Tunisiens (UTIT) est la première association issue de l’immigration tunisienne en France. Née de la volonté des agents de Moscou  et de certains cadres du PCF quelques militants politiques tunisiens sont désignés pour le créer et servir de façade. Tous issus de l’ultra gauche marxiste tunisienne (notamment le groupe Ech-choola (L'Etincelle) qui était un groupe fondé en France fin 1973 suite à un différent entre le Groupe Marxiste-léniniste Tunisien - GMLT et le Rassemblement Marxiste-léniniste qui s'est implanté en Tunisie en 1975, surtout dans le milieu étudiant. Il avait publié dès sa création avec l’aide du PCF une « Revue de la conscience prolétarienne en Tunisie ». Par la suite le groupe a pris la dénomination d'Union de Lutte Marxiste-léniniste Tunisienne - ULMLT dont l'organe central s'intitulait Ech-Choola. Dès 1974, l’UTIT publie le bulletin d’information El Ittihad. Elle est membre fondateur du Conseil des associations d’immigrés en France (CAIF), créé à Paris en 1983, et a adhéré à la Maison des travailleurs immigrés (MTI) en 1978.
C’est en 1978 qu’elle se transforme en union d’associations et qu’elle élargit son activité avec la constitution de quelques associations UTIT en région (Chalon-sur-Saône, Nîmes, Marseille, Montbéliard, Aix, La Corse, Villeneuve d’Ascq). Association de fait de 1974 à 1982, l’UTIT dépose ses statuts à cette date et fait financer ses activités par le Fonds d’Action Sociale (FAS). En 1994, elle devient la Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR). De fait cette « association » n’existe plus ce qui n’empêche pas les marxistes culturels de la présenter pour faire « masse » !
A Aubervilliers (Ici) monsieur Mohamed Fathi Tlili 57 ans, directeur de centre de formation
Conseiller municipal, délégué au commerce, semble encore représenter cette association d’antisémites ( Toucherait il des subventions ?). Lui écrire : utit@utit.net

Momo le communiste en vidéo !
Union Générale des Etudiants de Palestine (GUPS-France).
Partie de la nébuleuse communiste de la haine rouge antisémite.
L’union générale des étudiants marxistes et antisémites de « palestine » en France est composée de deux unités, à Paris et Aix-Marseille et d'autres pôles à travers la France. Elle regroupe moins d'une centaine « d'étudiants » de formations diverses et avariées venus surtout se former au marxisme culturel Français antisémite.
Leur site ICI
Union Juive Française pour la Paix (UJFP).
Association satellite du PCF.
L’Union Juive Française pour la Paix (UJFP), Ici sur Fesse de Bouc un mouvement marxiste culturel survivance d’un communisme Stalinien nauséabond, a été fondée à Paris en avril 1994, comme « section » de l’Union Juive Internationale pour la Paix (UJIP. Qui n’était elle-même qu’une « section » de l’internationale communiste aux ordres de Moscou) disparue depuis dans les brumes noires des lendemains qui déchantent. En 2002 elle est devenue membre fondateur de la Fédération des Juifs européens pour une Paix juste (EJJP) ICI et . Ses gens là seraient conscients de leurs «histoires», et ils assumeraient leur rôle d’agir pour «créer un monde meilleur».
Et celle là d’histoire de monde meilleur, vous la connaissez ? La guerre civile qui éclate après la révolution marxiste bolchevique transforme l'Ukraine, où vivent 60% des juifs russes, en champ de bataille. L'armée d'Ukraine lutte pour l'indépendance tandis que les armées « blanches » cherchent à renverser le gouvernement bolchevique; toutes participent cependant à des attaques antijuives assorties de pillages et de meurtres. Lorsque les Ukrainiens battent en retraite devant l'Armée rouge en 1919, une vague de violence antijuive sans précédent entraîne des dizaines de milliers de morts. Les armées blanches commettent elles aussi pillages, viols et meurtres, reprenant le vieux slogan « Frappez les juifs, sauvez la Russie ». Elles aussi doivent battre en retraite à leur tour et passent leur rage sur les communautés juives qui se trouvent sur leur chemin. On recense pendant la guerre civile quelque 2 000 pogroms, qui se soldent par environ 100 000 morts immédiates ( Hommes, femmes et enfants) et plus d'un demi million de juifs chassés de leurs foyers envoyés dans les camps du goulag humanistes et progressistes ou ils mourront quasiment tous.
Les sections juives du parti communiste sont le principal instrument qu'utilise le nouveau gouvernement pour appliquer la doctrine marxiste de l'assimilation forcée (aujourd’hui on peut sans se tromper, comparer idéologiquement parlant un Jean-Claude Meyer de l’UJFP avec Guenrikh Grigorievitch Iagoda, souhaitons lui toutefois de ne pas finir comme lui !) Mais une majorité des juifs russes militent alors dans les diverses organisations sionistes; ils sont les premiers à être éliminés, et des dizaines de milliers de sionistes sont déportés en Sibérie dans les camps de la mort du goulag. L'attaque systématique contre toute religion organisée affecte également le judaïsme. Les synagogues et les écoles sont fermées, les livres et les objets du culte confisqués et détruits. Les titulaires de charges religieuses et communautaires juives, comme les rabbins et les abatteurs rituels, sont contraints à démissionner; ceux qui refusent sont arrêtés et déportés dans les camps de la mort sibériens en chantant l’internationale et le temps des cerises.
À la fin des années 1920, l'emploi de l'hébreu est officiellement prohibé en Union soviétique; c'est la seule langue qui fasse l'objet d'une telle interdiction. Toute éducation religieuse juive est désormais impossible. Bof ; encore un léger « détail » de l’histoire !
Puis, après la shoa aux six millions de morts juifs exterminés par les Socialistes Nationalistes dit Nazis, les années qui suivent la victoire sur l'Allemagne nazie sont marquées en Soviétie par une recrudescence du nationalisme russe et par les campagnes anti-occidentales de la guerre froide naissante. Les dirigeants soviétiques, Staline en particulier, remettent en question la loyauté des juifs soviétiques, dont beaucoup ont des parents aux États-Unis, pays désormais ennemi. À partir de novembre 1948, les autorités soviétiques lancent une campagne méthodique de liquidation des vestiges de la culture juive. La littérature juive est purgée des librairies et bibliothèques, et les deux dernières écoles juives sont fermées. Les théâtres, chorales et groupes dramatiques juifs sont dissous. Des centaines d'écrivains, d'artistes, de comédiens et de journalistes juifs sont arrêtés et déportés certains exécutés. Pendant la même période, les juifs sont systématiquement purgés des positions de direction dans beaucoup de secteurs de la société, y compris l'administration, l'armée, la presse, les universités et la magistrature. Vingt-cinq des principaux écrivains juifs arrêtés en 1948 sont secrètement exécutés dans la prison Loubianka en août 1952. La Guerre des Six Jours de juin 1967, au cours de laquelle Israël triomphe de ses voisins arabes, alliés politiques de l'Union soviétique, est ressentie comme un échec cuisant. En août 1967, une campagne de propagande dénonçant le sionisme et Israël est lancée dans les médias soviétiques. Aucune distinction n'est faite entre les sionistes et les juifs. Pour discréditer la politique d'Israël, des stéréotypes antisémites vieux de plusieurs siècles réapparaissent dans les caricatures politiques, des livres et des émissions de télévision. Des accusations antisémites de « conspiration juive mondiale » refont leur apparition dans des expressions comme « le réseau sioniste international », qui s'efforce « en coulisse » de « contrôler le monde », avec l'aide des « requins de la politique et de la finance ». Dès octobre 1966, à une séance des Nations Unies, l'Union soviétique lance un thème particulièrement venimeux : « sionisme = nazisme ». Cet assaut de propagande marxiste trouve un auditoire, car la population n'a jamais été informée du sort des juifs sous l'occupation nazie.
L’UJFP nous dit regrouper des membres, (à peine une petite centaine pour toute la France) Juifs ou non, (Surtout non juifs, mais vrais communistes staliniens) qui œuvrent ensemble (L'UJFP participe à la fête annuelle de Lutte ouvrière et à la Fête de la haine rouge dite « de l'Humanité ».
Les associations juives de France fédérées au sein du Conseil représentatif des institutions juives de France, (Le CRIF) émettent de justes et virulentes critiques envers l'UJFP, très justement accusée d'être une « imposture » au sein de la communauté juive de France, (Si le CRIF n’apprécie pas à sa juste valeur l’UJPF, celle-ci n’aime pas le CRIF, ni d’ailleurs le BNVCA, ni même la LDJ, qu’elle accuse d’être « d’extrême droite » ICI . Ah ; « extrême droite » tout est dit en deux mots, c’est la technique la plus efficace des marxistes culturels antisémites pour clore toute possibilité de débat ! L'anathème ! En utilisant notamment la vieille technique du reductio ad hitlerum, c'est à dire en vous accusant d’être un sioniste d’extrême droite vous excluant de la sorte du genre Humain. Le marxiste culturel juif a une pensée intellectuelle faible et généralement un QI de moule qu’il compense en disqualifiant par des mots à fort impact psychologiques tout les contradicteurs un peu trop convaincants. Le marxiste culturel juif comme les autres communistes ou socialistes est sans scrupule, sa bonne conscience l'autorisant à user de la pire mauvaise fois. Il est inutile de voir en celui-ci un être Humain doué de conscience, il est plus proche psychologiquement du psychopathe, n'ayant aucun scrupule à violer tout principe éthique.)
Ces justes et virulentes critiques envers l'UJFP sont aussi exprimées        par l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) d’obédience socialiste (Comme quoi !), ou encore par des intellectuels juifs comme le grand écrivain Marek Halter qui parle dans un entretien au journal Le Monde de ceux qui « exhibent leur étoile jaune pour condamner Israël ». Selon l'UEJF, cette association marxiste culturelle affiche son soutien aux organisations terroristes et criminelles du FPLP communiste, du Hamas musulmans, du Hezbollah, de l'OLP, bref, sa haine des Juifs !
L’activiste de la campagne antisémite BDS Jean-Guy Greilsamer  Sur Fesse de Bouc et Pierre Stambul Qui trouve ici des "excuses" à Dieudonné M'Bala M'Bala. Et qui écrit : « Les sionistes sont devenus monomaniaques de la Shoah au point de nier les autres génocides » Sincèrement je suis sioniste et patriote français, mais non monsieur Stambul, je reconnais le crime contre l’humanité commis par le régime communiste l’Holodomor au neuf millions de morts. ICI ainsi que la Shoa au six millions de morts dont mon cousin assassiné par les nazis à Birkenau.
Les deux coprésidents de l'Union Juive Française pour la Paix. peuvent être considéré comme des figure paradigmatiques de Juifs non juifs, des Erev Rav ( Voir ici ) Ce que sont de nos jours les marxistes culturels juifs !
Jean-Claude Meyer lui aussi de l’Union Juive Française pour La Paix, 66 ans, s’exprime beaucoup sur Oumma.com Le site Musulman de France.  Membre des JCR en 1968 (Jeunesses communistes révolutionnaires), ancien membre de la LCR devenu NPA le Nouveau Parti Antisémites, il est de toutes les mobilisations marxistes nauséabondes. « Agitateur» et activiste communiste patenté, il fera 8 jours de prison à la Santé. Ce « monsieur » se donne pour métier sur le Net : Suppléant aux législatives de Juin2007 (C’est un métier ça ?).
Avec le tovaritch Jean Claude on a un exemple de ce que les marxistes culturels nidoreux et autres islamo marxistes antisémites font avec idéologie de haine qui provoque toujours des faillites humaines,et qui sur l'océan des drames humains tissent toujours un rideau de propagande mensongère d'ou surgit la réalité de l'horreur de la construction du socialisme. Monsieur Meyer s'habitue à puer de la gueule, reste que le plus difficile c'est d'y habituer les autres.
Leur écrire : contact@ujfp.org
Union Nationale des Etudiants de France (UNEF).
Encore un « Saint » Dicat de petits merdeux marxistes culturels et antisémites composé de communistes staliniens et de trotskistes. ICI
William Martinet en est le président. William Martinet, 27 ans, est étudiant en sciences sociales (autre nom aujourd’hui du marxisme culturel) à l’université Paris-XIII-Villetaneuse (master d’éducation et insertion professionnelle). Pour nombre de ses prédécesseurs l’UNEF, vivier dans lequel le parti socialiste a coutume de puiser, a servi de tremplin politique. Jean-Baptiste Prévost, à la tête de l’UNEF entre 2007 et 2011 est aujourd’hui conseiller au cabinet de la ministre de l’enseignement supérieur, Geneviève Fioraso. Président de 2005 à 2007 et leader de la mobilisation étudiante et lycéenne contre le contrat première embauche (CPE), Bruno Julliard est adjoint à la culture du maire de Paris et porte-parole de la candidate socialiste Anne Hidalgo. Avant eux, Jean-Christophe Cambadélis, député socialiste de Paris fut successivement président de l’Unef-US et de l’Unef-ID, au temps des scissions.
Pour comprendre mieux il faut lire la lettre ouverte du 29 mai 2014 à William Martinet et à Corentin Durand ICI, respectivement Président de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF) et Président de l’Union nationale lycéenne (UNL)

 
par Richard C. Abitbol, Président des associations : C.J.F.A.I (Confédération des Juifs de France et des Amis d’Israël) AGIR ENSEMBLE, pour la République, dans la République SOS VICTIMES Loge Deborah Sam Hoffenberg du B’nai B’rith Vice-président du B.N.V.C.A (Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme) Membre du “Board of Governors du B’nai B’rith International” Membre de la Commission Israël du B.B.E Membre du Bureau de l’U.P.J.F Membre de la Commission de Lutte Contre l’Antisémitisme du Consistoire Central. Ancien Président de la L.I.C.R.A Val-de-Marne :

 « Messieurs,
Après le 21 avril 2002, suite à l’appel de vos organisations, des centaines de milliers de personnes étaient descendues dans la rue pour protester contre la présence de Jean-Marie Le Pen au deuxième tour de l’élection présidentielle, sous le fallacieux prétexte de lutter contre le racisme et l’antisémitisme.
Je dis fallacieux, car l’année 2002 avait vu une explosion sans précédent de l’antisémitisme en France, avec une recrudescence non seulement des injures et propos antisémites mais également des attaques physiques graves contre des personnes et des synagogues.
Étiez-vous alors descendus dans la rue pour protester, non ! Avez-vous appelé vos fidèles à se rassembler contre la bête immonde renaissante ? Encore, non !
Vous étiez descendus dans la rue à quinze jours d’un scrutin alors qu’il suffisait pour chacun de s’exprimer et de s’indigner en déposant son bulletin dans l’urne !
La raison de votre mobilisation n’avait donc aucun lien avec le noble motif affiché mais n’était que bassement politique !
Puis, nous avons eu les terribles drames d’Ilan Halimi et l’assassinat de jeunes écoliers à Toulouse, l’occasion vous était offerte de vous mobiliser contre ces crimes immondes. L’avez-vous fait ? Non !
Puis vint l’affaire Léonarda, qui certes était pénible et affligeante, mais en aucune manière ne remettait en cause les atteintes à la personne et les principes républicains et pourtant là encore, vous vous êtes mobilisés sous de fallacieux prétextes !
Quand, pour la première fois depuis la guerre, nous avons entendu des dizaines de milliers de personnes qui scandaient à l’unisson « Juif, la France n’est pas à toi », quand les cris haineux à l’encontre des autorités républicaines, des francs-maçons et des juifs rappelaient tristement les « ligues » d’avant-guerre, quand cette mobilisation avait un arrière-goût de « Nuit de Cristal » soft, quand lors d’une manifestation à Toulouse en mémoire des victimes de Mohamed Merah les représentant du C.R.I.F sont conspués par des militants d’extrême gauche, quand nous appelions les forces républicaines à venir manifester massivement leur dégoût face aux débordements de ce « jour de colère » du 25 janvier 2014 afin d’affirmer notre attachement aux Droits de l’Homme bafoués, où étiez-vous ?
Non seulement vous ne descendiez pas dans la rue, mais votre expression médiatique, d’habitude si prolixe, était devenue muette !
Et voilà que vous récidivez aujourd’hui, à un moment tout particulier !!!
En effet, voilà que vous appelez à manifester à nouveau pour ce jeudi 29 mai !
On aurait pu croire que ce fût contre l’odieux massacre de Bruxelles ou contre l’odieuse attaque antisémite de Créteil, mais, Non ! C’est encore pour des raisons bassement politiques grimées sous de nobles raisons
humanitaires !

Non, Messieurs, vos mouvements et vos motivations n’ont rien à voir avec l’humanitaire, ni avec les Droits de l’Homme ou la lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme, mais sont uniquement motivés par des raisons bassement politiques (je dis volontairement « bassement » car la politique peut être grande et vertueuse, mais telle n’est pas celle que vous prônez).
Affichez donc, courageusement, vos raisons et votre couleur politique !
Manifestez pour défendre votre idéologie ! C’est votre droit !
Mais de grâce ne vous drapez pas sous de nobles prétextes et surtout ne prenez pas prétexte d’une lutte contre l’antisémitisme ! Je vous l’interdis !
Car, jamais, je dis bien jamais, nous vous avons trouvé à nos côtés, au côté des humanistes attachés à la lutte contre l’antisémitisme, jamais vous ne vous êtes mobilisés pour soutenir la communauté juive meurtrie et violentée par la violence antisémite, jamais nous vous avons vu descendre dans les rues de nos villes et de nos villages, battre le pavé, pour défendre les victimes de l’antisémitisme, ni même pour défendre les Droits de l’Homme au lendemain de ce triste 25 Janvier, « Jour de colère » pour les uns, et « Jour de honte » pour les autres.
Aujourd’hui, dans votre appel à manifester, vous osez écrire:« Le vote de dimanche dernier n’est pas à l’image de la jeunesse. Dans leurs engagements, leurs mobilisations et leurs combats, les jeunes portent des valeurs d’égalité, de solidarité et d’ouverture sur le monde qui sont à l’opposé de celle de l’extrême droite et du Front national… ! »
Quel est le sens de ce message au vu de ce qui a été dit plus haut ?
Comment osez -vous écrire: « Montrons au FN, aux partis politiques, aux journalistes, au monde, que nous dénonçons le racisme, la xénophobie, la haine, le repli sur soi de ce parti, et que les Français ne partagent pas ces valeurs », quand on ne vous voit dans aucun rassemblement contre l’antisémitisme: ni à la mémoire d’Ilan Halimi, ni à la mémoire des victimes du crime odieux de Mérah, ni après « Jour de Colère », ni après les agressions violentes de Créteil, ni, récemment, au rassemblement à la mémoire des victimes de l’odieux attentat de Bruxelles !!!!
Depuis de très nombreuses années les victimes de l’antisémitisme ne tombent plus sous les balles de l’extrême-droite, mais bel et bien sous celles de ceux que vous soutenez de manière récurrente et que vous honorez dans les villes communistes comme Bezons; et, malheureusement, aujourd’hui, les quolibets antisémites fusent essentiellement de la part d’une extrême gauche dévoyée qui trouve des excuses aux assassins d’Ilan Halimi, soutient les Dieudonné et autres « comiques » qui ne sont que sources de nouvelles « tragédies » !
C’est non seulement avec une grande colère, mais également avec une grande tristesse que je constate le biais de votre révolte qui feint une indignation humaniste.
Non, messieurs, ces faux semblants ne trompent plus personne, et la langue de bois n’étant pas mon fort, comme vous avez pu le constater, je vous tiens comptable de ce sinistre avenir que vous prétendez combattre !
Le seul espoir que je peux encore émettre est qu’après avoir lu ces quelques lignes, votre conscience en sera ébranlée; en tout état de cause, je l’espère pour vous et pour la jeunesse qu’elle représente !
Pour les mêmes motifs, cette lettre s’adresse également à ceux qui se joignent à vous dans cet appel à manifester, c’est-à-dire: la FIDL (Fédération indépendante et démocratique lycéenne), Osez le féminisme, la Maison des potes, Ensemble, les Jeunes socialistes, les Jeunes communistes, les Jeunes du Parti de gauche, les Jeunes de la gauche unitaire, les Jeunes écologistes et enfin les Jeunes radicaux de gauche !
Cordialement,

Richard C. Abitbol

Il était gentil Abitbol dans cette lettre et il oubliait tellement de monde; personnellement aujourd’hui, je ne vois plus dans cette racaille marxiste culturelle sans conscience que des petits antisémites haineux.
Union syndicale Solidaires.
Une bande d’antisémites haineux marxistes culturels qui devraient ben méditer le phrase de Francesco Alberoni « La solidarité n'existe pas : n'existe qu'une coalition d'égoïsmes. Chacun reste avec les autres pour se sauver soi-même.»
Le site haineux

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FIN.

Alain de Bornay

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